Grippe A (H1N1)

Quels intérêts économiques se cachent derrière la grippe A (H1N1) ?

Plusieurs pensent que ce virus provient d’un laboratoire ? A vous d’en juger…

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Arnaque du siècle
Grippe A (H1N1)

Pire que le bug
de l’an 2000 !
Une vraie maladie mentale…

Saviez-vous que la grippe saisonnière tue énormément de personnes chaque année et jamais on en entend parler et surtout pas sur pandemiequebec.gouv.qc.ca…

Petit rappel. La grippe A (H1N1) de 2009 est une maladie respiratoire aiguë contagieuse provoquée par un virus de la grippe A de sous-type H1N1. Ce virus est réapparu en 2009 sous une nouvelle forme génétique transmissible d’homme à homme. Ce nouveau virus grippal, contenant des gènes de plusieurs virus connus d’origine porcine, aviaire et humaine, est un virus réassorti.

Le virus se propage généralement par la toux et les éternuements ou en touchant une surface contaminée. Les symptômes, qui peuvent durer jusqu’à une semaine, sont similaires à ceux de la grippe saisonnière, et peuvent inclure fièvre, éternuements, mal de gorge, toux, maux de tête et douleurs musculaires et articulaires.

Au niveau mondial, la mortalité est faible et concerne principalement les personnes jeunes. Dans la majorité des cas, les malades n’ont présenté que des symptômes bénins et leur guérison a été rapide et complète.

Les personnes présentant les symptômes de la grippe A (H1N1) sont traitées avec du paracétamol et pour les cas plus sévères avec des inhibiteurs de la neuraminidase des virus grippaux tels l’oseltamivir ou le zanamivir.

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Le 11 juin 2009, l’OMS décide le passage à la phase 6 ; la grippe A (H1N1) de 2009 est donc considérée comme une pandémie.

C’est le début de la campagne de vaccination contre la grippe A H1N1 au Québec et dans le reste du pays. Le Québec dispose de 400 000 vaccins pour amorcer la campagne. Les premières personnes appelées à recevoir le vaccin sont celles qui travaillent dans le réseau de la santé et les personnes à risque de complication.

Un ministre de la Santé du Québec a déclaré qu’il était essentiel de se faire vacciner. « On doit laisser les croyances personnelles de côté et écouter les évidences scientifiques. Il est prouvé scientifiquement que c’est la bonne chose à faire pour le personnel de la santé et c’est la même chose pour toute la population », a-t-il dit.

Une fois cette première phase de vaccination terminée, la population sera ensuite conviée à se rendre aux différents centres de vaccination à travers le Québec. Ces étapes sont nécessaires parce que le ministère de la Santé n’a pas encore tous les vaccins nécessaires pour rejoindre toute la population. Le gouvernement dispose de quelque 400 000 doses du vaccin, les autres devraient arriver au cours des prochaines semaines.Un autre laboratoire officiel

« On a une contrainte que les vaccins vont arriver de façon progressive au cours des prochaines semaines. C’est pour ça qu’on a mis en place des mécanismes de priorisation de la clientèle dont les travailleurs de la santé, après ça les jeunes enfants qui sont vulnérables, après ça les clientèles vulnérables, et par la suite la clientèle des gens qui sont normaux qui représente moins de risque », dit M. Bolduc.

Même si le vaccin est offert gratuitement sur une base volontaire, le ministre encourage fortement la population à se faire vacciner. L’objectif du gouvernement du Québec est de vacciner au moins 75 % de la population.

« On va se mobiliser pour faire face à la situation, qui est très importante, d’une pandémie de grippe qui peut atteindre 30 % à 35 % de la population, et on parle d’une possibilité de 7000 à 8000 morts advenant le cas que ça devienne critique », a-t-il ajouté.

Décès en Ontario

Un enfant est mort de complications de la grippe A (H1N1) en fin de semaine en Ontario. C’est le premier décès là-bas depuis que la deuxième vague de grippe a été confirmée. Un des médecins qui a examiné l’enfant a dit qu’il ne semblait pas souffrir d’autres problèmes de santé. On ne connaît ni l’âge, ni le sexe de l’enfant.

Le Nouveau-Brunswick n’a pas attendu et a commencé à immuniser la semaine dernière les personnes qui vaccineront la population.

Dans le Bas-Saint-Laurent, le Centre de santé et de services sociaux des Basques a aussi pris les devants en commençant la vaccination massive auprès des travailleurs de la santé dès samedi, plutôt que lundi, comme d’abord prévu.

Les autorités médicales avaient confirmé la présence de la grippe A (H1N1) à l’école secondaire l’Arc-en-ciel de Trois-Pistoles à la suite de l’analyse des échantillons prélevés sur 16 élèves.

La majorité des employés du centre de santé et de services sociaux des Basques se sont présentés en grand nombre à la clinique de vaccination.

Pour l’horaire de vaccination : pandemiequebec.gouv.qc.ca

Grippe A (H1N1) – Les effets secondaires du vaccin

VaccinLes autorités de la santé publique du Canada rapportent que 36 réactions graves pourraient être associées au vaccin contre la grippe A (H1N1), dont un possible décès. Ce taux est moins élevé que celui qu’on observe lors de la vaccination contre la grippe saisonnière.

Sur 6,6 millions de doses de vaccin contre la grippe A (H1N1) distribuées en date du 7 novembre, 36 réactions graves sont survenues peu après l’administration du vaccin, dont un décès au Québec chez un octogénaire.

Salle d'attente

Toutes ces réactions graves sont survenues après l’administration du vaccin avec adjuvant.

Les autorités de la santé enquêtent sur le décès, qui est survenu au cours des trois dernières semaines, afin de vérifier s’il a vraiment été causé par le vaccin. Les autorités québécoises n’ont pas voulu donner plus de détails pour préserver la vie privée de la famille.

Selon le Dr David Butler-Jones, directeur national de la Santé publique du Canada, ces réactions graves sont de deux types:

* choc anaphylactique
* convulsions fébriles

Les autorités incluent dans la catégorie des réactions graves celles qui entraînent l’hospitalisation, l’invalidité ou même le décès de la personne vaccinée.

La plupart des réactions anaphylactiques surviennent dans les 15 minutes qui suivent l’administration du vaccin.

Dans les campagnes de vaccination contre la grippe saisonnière, ces réactions surviennent chez une personne vaccinée sur 100 000.

La réaction la plus fréquente est une douleur au bras à l’endroit de l’injection. Les autres réactions légères les plus courantes sont:

* nausée
* étourdissement
* mal de tête
* fièvre
* réaction allergique

Forte réponse immunitaire

Par ailleurs, le vaccin a provoqué une réponse immunitaire, c’est-à-dire la production d’anticorps contre le virus, chez 94 % des personnes vaccinées. Cette réponse survient chez 60 à 80 % des personnes vaccinées contre la grippe saisonnière.

En date du 17 novembre, 198 personnes sont mortes au Canada depuis le début de la pandémie en avril dernier, selon le Dr David Butler-Jones.

Dans l’ensemble du Canada, 20 % de la population a déjà reçu le vaccin.

Dans certaines régions de l’Ontario, la vaccination est dès maintenant offerte à tous, plusieurs semaines plus tôt que prévu.

En Alberta, les personnes de 75 ans et plus peuvent maintenant se faire vacciner.

En Saskatchewan, la vaccination sera offerte dès cette semaine aux élèves, jusqu’en 12e année, et à tous ceux qui ont des maladies chroniques.

La vaccination des malades chroniques a commencé au Nouveau-Brunswick, sans distinction d’âge.

À Terre-Neuve-et-Labrador, les personnes âgées et les adultes en santé devraient pouvoir se faire vacciner à la fin de la semaine.

L'origine de cette grippe

Nous avons enfin découvert le coupable qui est à l’origine de la grippe porcine ou A (H1N1).